vendredi 19 septembre 2014

Marcher ensemble.

Toujours prompt à défendre de beaux projets et de nobles causes, Wally prête aujourd'hui son image et sa voix à la superbe campagne "Walk Together" plaidant pour plus d'harmonie et d'équité entre tous les Australiens, sans distinction d'origine, d'âge, de religion, d'ethnie ou de milieu. 

Usant d'une formule très bien trouvée, le slogan parle de "gens communs ayant des rêves en commun" : 
- voir ses enfants avoir toutes les chances de réussir dans la vie,
- terminer ses études et trouver un travail,
- vivre dans un pays où l'on est tous égaux,
- savoir sa famille en sécurité, 
- vivre dans un pays de justice et de compassion... Un pays que l'on peut appeler son chez-soi.

Chaque rêve est exposé par deux personnages apparemment très différents l'un de l'autre. Ils apparaissant dans un écran impitoyablement scindé en deux images bien distinctes mais les mots qu'ils prononcent sont les mêmes. A la fin de la publicité, la démarcation s'efface, les protagonistes se retrouvent sur la même image et plus rien ne les empêche se serrer dans les bras les uns des autres.
La voix de Wally se fait alors entendre "Nous sommes des gens communs qui ont des rêves en commun. Aucune personne ne vaut plus qu'une autre. Alors qu'importe d'où vous venez, qui vous êtes ou comment vous êtes arrivé ici. Il est temps de marcher ensemble."  

    

Et effectivement, de grandes marches collectives seront organisées le 25 octobre prochain dans plusieurs villes australiennes.  

"Nous sommes des Aborigènes d'Australie, nous sommes des réfugiés, nous sommes de talentueux migrants, nous sommes Australiens de longue date, nous sommes des étudiants internationaux, nous sommes des demandeurs d'asile... nous sommes des gens. Il est temps de Marcher Ensemble vers un futur où la diversité sera célébrée et où la peur sera remplacée par l'accueil et ou tout le monde sera le bienvenu. " peut-on lire sur le site internet de l'évènement.
Encore un très bel engagement de la part de Wally. En même temps, il doit savoir exactement de quoi il parle, ce petit Européen de souche embarqué  par ses parents en Australie alors qu'il n'avait que deux ans. C'est forcément une cause qui le touche. Et sa façon de s'impliquer dans ce combat force le plus profond respect. 

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